Le premier article dans le journal local !

C’est avec une immense fierté et beaucoup d’émotion que j’écris ce post.

Le 25 octobre est paru dans le midi libre le tout premier article sur l’association Prendre Son Envol. 

Une mise en lumière par le biais du midi libre, que je remercie chaleureusement pour son travail et l’échange que nous avons pu entretenir.

A titre personnel, c’est une « grande fierté » pour moi, tout ce travail fourni, ce chemin parcouru est enfin, en train de prendre « vie« .

Je voulais remercier, toutes et tous qui m’ont soutenus, guidés, accompagnés dans la construction de ce fabuleux projet.

Je voudrais aussi, par la présente remercier, tous les magnifiques retours que j’ai pu avoir suite à la publication de cet article.

Les messages de soutien, de remerciement de mettre en lumière ces situations, d’encouragements etc… 

Je m’engage auprès de toutes ces personnes, à ne jamais cesser de porter ce message celui de « l’espoir », et à emmener haut cette association  ainsi que toutes les actions et projets qu’elle permettra d’initier.

Un grand merci, à vous tous et toutes.

Nous ne sommes qu’aux prémices de belles avancées et je souhaite que chacune qui se reconnaitra dans ses « situations » puissent trouver refuge et appui auprès d’une association œuvrant pour les aider à se « reconstruire ».

La directrice, Mme Lecomte Mélanie

Avec l’aide de l’association Prendre son envol, l’Alésienne Mélanie Lecomte déploie ses ailes – midilibre.fr

MELANIE LECOMTE ASSOCIATION PRENDRE SON ENVOL / VIOLENCE FAITE AUX FEMMES

Violences conjugales: vote unanime du Sénat pour une aide d’urgence aux victimes

Cette loi vise à créer une aide financière universelle d’urgence pour les victimes de violences conjugales.

Le Sénat a adopté jeudi 20 octobre à l’unanimité, en première lecture, une proposition de loi transpartisane visant à créer une aide financière «universelle d’urgence» pour les victimes de violences conjugales, sous la forme d’un prêt sans intérêt. Le texte porté par la sénatrice du Nord Valérie Létard vise à «lever un frein» à la séparation d’un compagnon violent. Il était examiné dans le cadre d’une «niche» parlementaire réservée au groupe centriste.

Cette aide d’urgence «vise à combler un réel manque, lorsque les victimes subissant des violences conjugales rencontrent des difficultés à s’extraire de l’emprise de leur conjoint violent, en raison de la dépendance financière», a exposé Valérie Létard. «Cette dépendance financière peut faire renoncer au départ ou forcer les victimes qui ont franchi le pas à revenir en arrière», a-t-elle ajouté.

«Avis de sagesse»

S’inspirant d’une expérimentation menée dans le Nord, elle est «attendue par tout le maillage des travailleurs sociaux», a souligné la vice-présidente du Sénat. La ministre déléguée à l’Égalité Femmes Hommes, Isabelle Rome, s’est contentée d’un «avis de sagesse» sur ce texte. Elle a estimé que l’expérimentation «peut être intégrée dans les réflexions du gouvernement, mais elle doit être enrichie pour couvrir tous les besoins des femmes».

«Ne perdons pas de temps, chaque jour compte», a exhorté Valérie Létard. «Il faut aller au bout de ce dispositif, il a été pensé, (…) maintenant la mise en application, les professionnels la connaissent sur le bout des doigts», a-t-elle plaidé. Concrètement, cette aide financière, qui doit encore obtenir l’aval des députés, prendrait la forme d’un prêt sans intérêt, qui serait octroyé sous trois jours ouvrés par les caisses d’allocations familiales. Son montant serait fixé par décret.

Son octroi serait conditionné à une ordonnance de protection, un dépôt de plainte ou un signalement adressé au procureur de la République. Les conditions de remboursement seraient souples. Et, sous certaines conditions, la CAF pourrait «faire payer l’auteur des violences pour des situations dont il est responsable», a précisé la rapporteure centriste Jocelyne Guidez.

 

Stress post-traumatique, dissociation… comment gérer l’« après » des violences conjugales ?

Ce 25 novembre marque la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. L’occasion de rappeler que même quand les victimes de violences conjugales réussissent à fuir la situation, le calvaire n’est souvent pas terminé.

En 2020, la France a décompté 102 féminicides. L’année d’avant, 7 femmes victimes sur 10 déclaraient avoir subi des violences physiques ou sexuelles répétées et une femme mourait tous les deux jours et demi sous les coups de son partenaire.

Si le 25 novembre est chaque année l’occasion de répéter ces chiffres, la situation est loin de s’améliorer.

Heureusement, l’écoute se libère, permettant aux femmes victimes de violence de trouver des mains tendues. Malgré tout, même une fois éloignées de la situation et mises en sécurité, leur périple est parfois loin d’être fini. Car les violences conjugales laissent de lourdes séquelles physiques et psychologiques.

Mémoire traumatique et victimologie est une association pour la formation, l’information et la recherche sur les conséquences psychotraumatiques des violences. Selon l’organisation, les violences inter-humaines sont les plus grandes pourvoyeuses de psychotraumatismes (un état de stress post-traumatique), et le risque d’en développer est de 24% après un événement traumatisant.

Pris en charge trop tardivement, les troubles psychotraumatiques peuvent rendre la vie des victimes infernale. S’il est primordial que les auteurs de violences soient punis, gérer le traumatisme des victimes est donc essentiel. Mais comment ?

Tous ces symptômes peuvent à leur tour déclencher de l’anxiété, des troubles addictifs ou des troubles du sommeil.

Que sont les troubles post-traumatiques ?

On sous-estime souvent les conséquences des violences sur les personnes victimes… Pourtant, les répercussions sont nombreuses et peuvent altérer leur santé mentale pour de bon.

Ce qu’on appelle les troubles psychotraumatisme, ce sont « l’ensemble des troubles psychiques immédiats, post-immédiats puis chroniques se développant chez une personne après un événement traumatique ayant menacé son intégrité physique et/ou psychique. »

D’après Mémoire traumatique et victimologie, ces troubles, qui peuvent surgir pendant des mois voire des années, se traduisent par :

  • Un état de stress important et de la détresse
  • Un état de stress post-traumatique avec des flashbacks intrusifs, des pensées récurrentes à propos des violences, des insomnies ou un état d’hypervigilance — et même des comportements auto-destructeurs, une incapacité à faire confiance et un sentiment de vide en cas de stress post-traumatique plus sévère
  • Une dissociation, c’est-à-dire, des troubles de la mémoire, de l’attention ou de la concentration

Ce n’est pas fini : tous ces symptômes peuvent à leur tour déclencher de l’anxiété, des troubles addictifs ou des troubles du sommeil. « Ce sont des troubles psychiques qui présentent une forte prévalence sur la vie entière, de 5 à 6% pour les hommes, de 10,5 à 13,8% pour les femmes », précise la psychiatre Muriel Salmona sur le site de l’association.

Les victimes de violences conjugales ont un risque important de développer des troubles psychotraumatiques chroniques.

Comment apprendre à gérer ?

Tout d’abord, il faut savoir qu’il existe deux types de psychotraumatismes :

  • Les psychotraumatismes de type I qui surviennent lors d’un événement unique comme un accident, par exemple.
  • Les psychotraumatismes de type II qui se manifestent lors d’événements répétés… comme en cas de violences conjugales.

Pour éviter qu’ils n’empirent, il faut vite se faire prendre en charge en essayant de se faire accompagner, en effectuant un bilan de santé global ou en suivant une psychothérapie. « Pour les victimes, il est déjà très libérateur d’apprendre que leurs symptômes, leur souffrance, leur mal-être, leurs troubles du comportements sont des conséquences des violences, sont cohérents et normaux », explique le site Proformed.

Selon l’asso Mémoire Traumatique et victimologie :

« Les victimes de violences conjugales ont un risque important de développer des troubles psychotraumatiques chroniques (58%) et ne doivent pas rester abandonnées à leur sort et à leurs symptômes. Pour cela il faut identifier les violences le plus précocement possible pour mettre en place une protection et une prise en charge efficace. »

Face au traumatisme, le Centre National de Ressources et de Résilience conseille d’éviter au maximum la solitude, de vous rapprocher de médecins et psychologues, de vous détourner des facteurs aggravants comme l’alcool, le tabac ou la drogue ou encore de ne pas chercher à éviter les conversation autour des violences subies.

En tant que victime, vous pouvez également tenter au maximum de limiter les déclencheurs (triggers) le temps de les traiter ou vous orienter vers des groupes de parole. L’important reste encore de sortir de l’isolement créé par l’agresseur !

Comment aider quelqu’un qui souffre de troubles post-traumatiques ?

Si vous n’êtes pas une pro de la santé mentale, vous ne pouvez pas faire grand-chose à part écouter votre proche victime de violences conjugales, le ou la rassurer sur le fait qu’il ou elle est cru et courageuse, le ou la mettre en sécurité et l’orienter vers des ressources plus compétentes.

Les stratégies typiques des personnes violences sont l’isolement de la victime, la dévalorisation, la terroriser, la faire culpabiliser et assurer sa propre impunité en se mettant des gens dans la poche. À votre échelle, vous pouvez tenter de contrer ces mécanismes en accompagnant au mieux votre proche dans ses démarches et en la revalorisant au quotidien.

Malheureusement, même les professionnels de la santé sont parfois peu formés à reconnaître les troubles psychotraumatiques… Il faut donc, dans l’idéal, trouver des associations d’aide aux victimes, comme un Centre National de Ressources et de Résilience, le numéro 3919, ou des structures qualifiées.

Ne restez pas seule. Vous pouvez trouver de l’aide.

Sponsors: Merci à Top office Alès!

 

Un petit article pour mettre à l’honneur, le magasin top office Alès, ainsi que toute son équipe afin de les remercier de leur aide en faveur de l’association  « Prendre son Envol ».

Je tenais personnellement à les remercier pour leur participation et leur contribution aux impressions de nos cartes de visites, nos flyers ainsi que nos affiches de communications.  Par le « coup » de pouce, le poste budgétaire concernant la communication de l’association est fortement réduit, ce qui va nous permettre d’allouer, cet argent à d’autres postes de dépense.

Merci, encore au nom de toutes ces femmes que nous allons pouvoir aider.

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ATELIER IMPRESSION

Gwen, Damla, Laetitia, Cindy et Antoine | TOP OFFICE

  •  Téléphone: +33(0)4 66 525 525
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l’atelier impression est ouvert sans interruption de 8h30 à 18h30, du Lundi au Samedi.

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Enseignement supérieur : le budget de lutte contre les violences sexistes et sexuelles va doubler en 2023

Un partenariat a par ailleurs été signé avec le média en ligne Konbini et une campagne de sensibilisation au consentement sera lancée sur les réseaux sociaux.
De 1,7 à 3,5 millions d’euros annuels. Le budget alloué à la lutte contre les violences sexistes et sexuelles dans l’enseignement supérieur va doubler en 2023 et le gouvernement va lancer une campagne de sensibilisation au consentement, annonce la ministre, Sylvie Retailleau, dans une interview diffusée samedi sur le site du Parisien.

Un an après le lancement d’un plan de lutte contre les violences sexistes et sexuelles (VSS) à l’université et dans les grandes écoles, «on se rend compte qu’il y a un réel besoin d’action, de formation et nous allons donc doubler le budget consacré chaque année à ce plan», explique la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

«Sans oui, c’est interdit»

Alors que la consommation d’alcool «accroît les risques», notamment lors de festivités comme les week-ends d’intégration, dont beaucoup se déroulent en ce moment, «on constate aujourd’hui une réelle prise en compte de ces problématiques dans les établissements qui font preuve de responsabilité», selon Sylvie Retailleau.

Le ministère financera «dès cette rentrée des projets d’associations et d’établissements à hauteur de 1,2 million d’euros», explique-t-elle, citant l’exemple de l’Anestaps, l’association nationale des étudiants en sports, qui va «recevoir une subvention pour mettre en place lors de festivités des […] lieux sécurisés avec des personnes relais».

CAMPAGNE #PLUSJAMAISSEULES

A l’occasion des 5 ans du mouvement #MeToo, véritable séisme de libération de la parole des femmes, la Fondation des Femmes lance une grande campagne de sensibilisation et de collecte de fonds pour rappeler à quel point les femmes victimes de violences sexuelles se retrouvent isolées face à une société et un système qui les écrase et les décourage.
Attention : ce qui suit rapporte des faits de violences sexuelles. Si vous avez été victime de viol ou d’agression sexuelle, ce n’est jamais de votre faute.

Visuel visage Plus Jamais Seules

Voir la vidéo : Campagne #PlusJamaisSeules | Fondation des Femmes

Sophie Marceau : « Les femmes doivent se réveiller pour leurs droits »

La comédienne est à l’affiche du film « Une femme de notre temps » et d’une exposition à la Cinémathèque à Paris.

Sophie Marceau

Sophie Marceau est à l’affiche du film Une femme de notre temps et d’une exposition à la Cinémathèque à Paris. Avec un tel titre, RTL a demandé à l’actrice culte du cinéma français son regard sur le féminisme aujourd’hui. La comédienne défend un point de vue humaniste et semble préférer ne pas vouloir mettre les gens dans des cases.
« Être féministe aujourd’hui… Bon, il y a plusieurs courants et les mots en -isme ça ne me plaît pas trop, commence Sophie Marceau. Moi, je suis féministe dans le sens où je suis pour ce mouvement de dialogue, de parole, de dire les choses qui sont cachées… Le mouvement Me Too est parti du cinéma, on est exposé, on peut parler mais il y a de la violence dans les deux sens, il ne faut pas tout amalgamer. »

« [Le féminisme] est un sujet qui est super important. Aujourd’hui, dans la politique, à chaque émission, on parle des femmes maintenant, explique l’actrice. Comment on traite les femmes, c’est comment on traite la nature, la Terre… Il est temps que les êtres humains se réveillent. Les femmes doivent se réveiller pour leurs droits, leur parole et les hommes également. »

Verdict exceptionnel !

Assises du Loiret : un homme jugé pour tentative de meurtre sur sa compagne en 2019 à Ouzouer-sur-Loire

C’est un nouveau procès qui s’ouvre ce matin devant la cour d’assises du Loiret. Le procès de Fabien Langlois. Cet homme, âgé aujourd’hui de 40 ans, comparait pour tentative de meurtre sur son ex-compagne dans la nuit du 9 au 10 décembre 2019 à Ouzouer-sur-Loire, commune située sur la route d’Orléans à Gien.

La victime, alors âgée de 35 ans, avait été grièvement blessée au bras par un coup de fusil de chasse. L’accusé avait ensuite retourné l’arme contre lui. Verdict attendu vendredi.

L’alcool dès l’âge de 10 ans

Fabien et Bénédicte sont ensemble depuis l’adolescence, ils se sont pacsés en 2008, ils ont deux enfants. Ces dernières années, la vie du couple s’est dégradée, émaillée de violences conjugales, de ruptures en réconciliations, sur fond de profond alcoolisme de l’accusé qui le rend jaloux et possessif. Né à Pithiviers au sein d’une fratrie de cinq enfants dont les parents font office de famille d’accueil, Fabien croise l’alcool pour la première fois à l’âge de 10 ans. A cette époque, il dit avoir été agressé sexuellement par des enfants placés.

En 2018 en arrêt de travail après avoir été opéré, il fréquente alors les rassemblements de gilets jaunes où il consomme massivement de l’alcool. Finalement en 2019, après avoir été salarié pendant 19 ans comme préparateur de commande puis cariste, il est licencié en novembre pour ses retards et son comportement. Rentré alcoolisé de la chasse ce 9 décembre de cette même année, un plus tard dans la soirée alors que le couple est couché, Fabien Langlois s’en prend une fois encore à Bénédicte.

Un coup de fusil de chasse avant de retourner l’arme contre lui

Une dispute éclate, Bénédicte tente de descendre à la cuisine mais Fabien la jette sur le lit et tente de l’étrangler avant de la relâcher selon la mère de famille. Toujours d’après la victime, l’accusé aurait ensuite menacé « _je vais te flinguer et je vais me flinguer après comme ça on sera tranquill_es ». Après avoir été chercher son fusil dans la voiture, il tire sur elle, dans le salon, quasiment à bout portant, la blessant lourdement au bras.

Le père de famille retourne ensuite l’arme contre lui, devant ses enfants de 6 et 12 ans, appuie sur la détente, se blesse grièvement au visage, tombe inconscient quelques minutes puis se relève avant de tenter de se pendre dans le jardin. Il est interpellé sans résistance par les gendarmes aux abords du domicile. S’il ne conteste pas les faits, Fabien Langlois nie en revanche avoir voulu volontairement donner la mort à son ex-compagne.

Une main courante à la gendarmerie

La qualification retenue de tentative d’homicide volontaire Me William Bourdon, le défenseur de Fabien Langlois, la conteste aussi. Pour l’avocat, un des ténors du barreau de Paris, qui a défendu notamment des gilets jaunes à Montargis, son client n’a pas visé sa conjointe, il a voulu lui faire peur et sa consommation excessive et chronique d’alcool a influencé sa personnalité et les faits. Une thèse à laquelle sera sûrement loin de souscrire Me Nathalie Tomasini, l’une des protagonistes de la très médiatique affaire Jacqueline Sauvage. Nul doute que l’avocate de la victime va s’appuyer sur le lourd passif de l’accusé, notamment condamné en 2005 à Montargis à un an de prison dont neuf mois avec sursis pour violence aggravée. En 2003, dans une fête de village, il avait frappé lors dune bagarre un homme avec une barre de fer causant son infirmité permanente.

L’avocate, spécialiste en violences conjugales, ne manquera pas non plus de faire état de la main courante déposée par la victime à la gendarmerie de Gien quelques semaines seulement avant le drame. Lors d’un nouvel accès de violence, son compagnon lui avait cassé ses lunettes en lui tirant les cheveux avant de l’enfermer dans la maison pour l’empêcher de partir.

Verdict exceptionnel !
20 ans de réclusion criminelle avec peines complémentaires :
– interdiction du port d’armes pendant 15 ans,
– suspension du permis de chasse pendant 15 ans,
– suivi socio-judiciaire pendant 10 ans,
Et surtout, retrait de l’autorité parentale sur ses deux enfants.

Merci pour votre générosité : Centrakor Alès !

L’association Prendre son Envol remercie chaleureusement, le magasin Centrakor Alès pour ses bons d’achats offerts pour pouvoir meubler et équiper le futur local permanent de l’association.

Cela va permettre de recevoir les victimes, dans un cadre rassurant et chaleureux, propice à la détente et au lâcher prise.

Merci au nom de toutes ses femmes que nous allons pouvoir,  très bientôt accueillir.

CENTRAKOR ALES 30100

 

Notre première donation par le Lions Club Alès

J’ai été très honorée, en ce jeudi 22 septembre, de recevoir la première donation de « Prendre son Envol » , de la part du Lions Club, à la mairie d’Alès.

 

Ce coup de pouce, va pourvoir permettre de débuter les projets qui ont étés pensés et élaborés depuis maintenant 2 ans.

Nous allons, bénévoles et professionnels sensibilisés, encadrés les ateliers proposés dans le cadre de la reconstruction des femmes victimes de violences conjugales; ayant pour but de leur redonner une estime de soi, revaloriser leur confiance en elles et les aider à se réapproprier leur corps et leur esprit.

Merci, encore au nom de toutes ces femmes que nous allons aider. 😊

Chaque aide, quelle qu’elle soit est précieuse et nourricière pour le développement de notre projet!